Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 07:03

 

Arrivée à Paris, à nouveau pour un concert, mais cette fois-ci, privé. Au menu de cette soirée, non pas un mais quatre groupes qui se partagent l'affiche de La Machine. Cocoon, groupe pour lequel j'ai voul y aller au départ, sachant au dernier moment, qu'il y aurait également Lilly Wood & The Prick que je voulais voir depuis un moment, Jehro que je connaissais déjà un peu et Asaf Avidan qui serait une totale découverte. La salle dans laquelle ressemble assez peu à une salle de concert ordinaire. C'est vraiment classe, il y a des sièges partout autour, des canapés, des tables, pas du tout l'idée d'une fosse et des gradins. Rien qu'à la vue des lieux, on se sent déjà en "privé". Moi et mes amies, rentrons quasiment les premières et nous précipitrons au premier rang avant de remarquer que personne ne nous suit. Les gens s'installent au bar, ou aux tables, dans les escaliers. On réalise qu'il n'y aura pas autant de monde qu'on l'imaginais et à voir le public clairsemé de la "fosse", c'est un peu la surprise pour nous. En effet, s'il y a bien un concert, où l'on peut aller se servir une bière et revenir exactement à sa place 10 minutes après, c'était bien ce soir-là, ce qui change des concerts auxquels j'assiste habituellement (des heures d'attente, premier rang, rien à boire, pas possible de bouger, pas possible de s'asseoir). Donc une fois rentrée, je retrouve Annaïg, plus connue sans doute sous l'apparence du fameux Blog de La Blonde. Toute contente de rencontrer celle qui m'a permis de gagner ces places VIP grâce à un concours. Une jolie rencontre ! 

Quelques minutes plus tard, entre en scène Lilly Wood & the Prick, devant une assemblée discréte. C'est une Nili rayonnante qui nous enveloppe immédiatement par sa voix éraillée, subtile et profonde. Les mélodies pop et folk nous résonnent des airs que nous connaissons bien maintenant.

 

Voilà deux extraits issus de leur dernier album, Invicible Friends, Water Ran et Love Song.

 


 

 

 


 

C'est ensuite au tour d'Asaf Avidan de prendre place sur scène. Et là, c'est une vraie claque que je me prends. Une voix à donner des frissons, qui explore habilement  de nombreuses tessitures. Guitare, harmonica et violon se mêlent pour nous offrir des rythmes folk, un peu blues, très efficaces et des moments intrumentaux bouleversants et entraîants. Asaf est d'un charisme impressionant avec sa voix déchirant le silence.Très très belle découverte.

 

Je vous laisse apprécier Her Lies.

 

 


 

 

 

C'est au tour de Cocoon d'entamer son set, groupe que j'affectionne particulièrement et dont c'est le septième live auquel j'assiste. Ils me transportent toujours aussi intantanément dans leur univers. La magie opère, à chaque fois. Même sans le décor marin, et l'arrivée sans lanterne à la main. Même sans les effets de lumières, et les lampes qui se balancent. Cocoon c'est des chansons connues par coeur, que l'on chante presque sans s'en apercevoir, c'est un Mark et une Morgane, egaux à eux même, naturellement drôles et proches de leur public. Une complicité et des regards et sourires entendus, qui nous échappe parfois.

Cocoon c'est au-delà du coup de coeur, c'est devenu la bande-son de ma vie. Alors quand je les retrouve sur sur scène, je me sens chez eux  comme chez moi.

 

Et je n'ai malheureusement pas de traces vidéos, de leur passage car mon appareil a décidé que seules les vidéos de Cocoon seraient "fichiers corrompus". Ou on a la poisse comme il faut, ou on l'a pas.

 

Le Show se termine par Jehro qui emmène la salle dans une atmosphère chaleureuse, avec sa musique folk aux teintes reggae.

 

Voici quelques photos.

 

 

Concert Privé La Machine 077Concert Privé La Machine 090Concert Privé La Machine 086Concert Privé La Machine 094

Concert Privé La Machine 103

 

Concert Privé La Machine 104

 

 

 

 

Concert Privé La Machine 174Concert Privé La Machine 113Concert Privé La Machine 135

Concert Privé La Machine 111

Concert Privé La Machine 136Concert Privé La Machine 139Concert Privé La Machine 162Concert Privé La Machine 172Concert Privé La Machine 197Concert Privé La Machine 203Concert Privé La Machine 220

 

 

 

 

Concert Privé La Machine 175Concert Privé La Machine 177Concert Privé La Machine 178Concert Privé La Machine 187Concert Privé La Machine 192

 

 

 

 

Concert Privé La Machine 224Concert Privé La Machine 229

Concert Privé La Machine 230Concert Privé La Machine 234

 

Concert Privé La Machine 216

Concert Privé La Machine 238

Concert Privé La Machine 273

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Concert Privé La Machine 286Concert Privé La Machine 296Concert Privé La Machine 294

 

 

 

 

 

Concert Privé La Machine 013Concert Privé La Machine 014Concert Privé La Machine 016Concert Privé La Machine 018Concert Privé La Machine 019Concert Privé La Machine 020Concert Privé La Machine 024Concert Privé La Machine 026Concert Privé La Machine 027Concert Privé La Machine 028Concert Privé La Machine 029Concert Privé La Machine 044Concert Privé La Machine 048Concert Privé La Machine 062Concert Privé La Machine 022Concert Privé La Machine 021

Partager cet article
Repost0
3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 21:32

Pour être honnête, je n'avais entendu d'Irma que son titre que l'on entend partout, I know issu de son premier album Letter To The Lord Cette chanson m'avait beaucoup plu à la première écoute. Lorsque j'ai vu qu'elle passait près de chez moi je me suis dit que ça me plairait, je n'ai pas cherché à écouter d'autres titres, pour une fois.

Son entrée dans la salle est discrète, elle se présente avec la simplicité et le naturel qui semblait la caractériser, de ce que j'avais pu voir et entendre d'elle. Seule avec sa guitare, le regard franc, et le sourire solaire. Je ne sais pas si c'était parce que c'était une petite salle, que l'on était peu de gens, mais je ne crois pas, lorsque Irma se met à chanter, on a l'impresion qu'elle s'adresse à nous personnellement, sa musique nous emporte, mais ses mots, ils ne sont pas seulement chantés, ils sont dits. Je ne sais pas comment l'expliquer, ses mots ont du poids, mêrme sans que l'on parle de leur signification. Irma, elle réveille quelque chose, déjà, presque immédiatement, le petit hochement de tête dés les premiers accords de guitare, mais elle réveille quelque chose de fédérateur en nous. Quand Irma, chante, on ne peut  pas juste entendre, on l'écoute. C'est aussi, un peu une aventurière, quand elle s'emporte, les cordes vibrent, et parfois vibrent trop fort, et lorsqu'une corde s'est cassée, elle était presque prête à essayer de continuer le show.

Je n'ai plus le souvenir de tous les titres mais je donnerai une mention spéciale à Everybody qui m'a vraiment touchée.

 

Ce jour là j'ai regretté de ne pas avoir prévu d'assister à son concert du même soir. Ne faites pas la même erreur ;) 

 

Toulouse-Clermont 013Toulouse-Clermont 010-copie-1Toulouse-Clermont 011

 

Session acoustique du titre Everybody pour WeLoveMusic, à défaut d'avoir un extrait du showcase auquel j'ai assisté.

 

 

 


 
Partager cet article
Repost0
31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 14:42

 

Cocoon, on les aime, c'est une histoire qui dure depuis des années maintenant. Quelle est donc leur fameuse recette ? Les mélodies folks entraînantes et entêtantes que l'on retient rapidement ? Un univers animalier très marqué ? Des mots qui touchent ? Cocoon, c'est un savant mélange de tout ça, des chansons à multiples lectures, accessibles à tous, qu'on a envie de chanter avant même d'en connaître les paroles, certaines qu'on a envie de chanter à tue-tête, vitres grandes ouvertes, plein soleil, et vent dans les cheveux, d'autres qui nous chuchotent des airs mélancoliques. Quoiqu'il en soit, la magie qui avait opéré avec leur premier album, nous enveloppe à nouveau avec leur second opus, Where The Oceans End. Ce dernier est, tout comme le premier, un album concept, où les chansons se dévoilent selon une articulation pensée et cohérente, mais qui fonctionnent tout aussi bien dans leur individualité. Les animaux sont à nouveau des instruments métaphoriques qui servent de support à la mise en scène et aux émotions.

 

L'univers de ce nouveau bébé de Cocoon, est celui de la mer. La scène sur laquelle trônent les instruments, est ornée de filets, des petits cajots de bois, ce qui plante immédiatement le décor et l'atmosphère du concert. La lumière d'un phare, le bruit des vagues, le cri des mouettes, nous voici immergé dans les fonds marins. Mark et Morgane, arrivent accompagnés de leurs musiciens, avec pour seules sources de lumière, une lanterne que chaque membre du groupe tient à la main. C'est Sushi, comme à chaque fois, qui ouvre le set, comme elle ouvre l'album. "May you be where you wanted" Oui, nous sommes là, où nous voulons être. Attentifs, et subjugué, nous montons à bord de cette baleine un peu spéciale. 

 

Toulouse-Clermont 117Toulouse-Clermont 118Toulouse-Clermont 120Toulouse-Clermont 122Toulouse-Clermont 124Toulouse-Clermont 125Toulouse-Clermont 132Toulouse-Clermont 133

 

A peine a-t-on  mis les palmes dans l'abîme marin, que l'on change de lieu, et nous voilà dans la forêt, avec une Reine en colère que l'on connaît bien maintenant et le public répond en chœur " She lost a treasure there", Owls est donc le premier bond dans le premier album.

 

Toulouse-Clermont 155Toulouse-Clermont 157Toulouse-Clermont 162Toulouse-Clermont 164Toulouse-Clermont 165Toulouse-Clermont 166Toulouse-Clermont 178Toulouse-Clermont 179

 

Et c'est Mother qui continue le voyage, dédicace de Mark à sa maman présente ce soir là dans la salle, qui nous fait revenir à l'océan, avec ces bateaux qu'on laisse partir, titre que l'on reçoit comme une confidence, et avec toute l'émotion qui la caractérise.

 

Toulouse-Clermont 202Toulouse-Clermont 203Toulouse-Clermont 204Toulouse-Clermont 205

 

Et c'est au tour du célèbre On My Way, Mark et Morgane, disent avoir besoin de nous, je crois qu'il était inutile de demander. Le public connaît les paroles, chante même les notes, " Be Okay, be okay ...- Plus fort ? - BE OKAY!!!".

 

Toulouse-Clermont 215Toulouse-Clermont 218

 

Après une salve d'applaudissements, ils nous ramènent tout en douceur avec Baby Seal, dans un silence subjugué. Les lumières sont bleutées, les musiciens évoluent comme des ombres, le rendu es superbe.

 

Toulouse-Clermont 246Toulouse-Clermont 247Toulouse-Clermont 248Toulouse-Clermont 251

 

Après ces minutes de temps suspendu, Mark et Morgane nous demande notre participation active, pour une des chansons phares du premier album, le fameux Hummingbird. Ils ne sont que tous les deux sur scène, c'est donc en toute intimité, que nous commençons les "ch-ch-ch ch-ch " accompagnés de claquement de doigts, et en rythme s'il vous plaît. Ce qui fut pour moi, et à chaque concert, une épreuve, que de résister à chanter les paroles de cette chanson que j'affectionne tout particulièrement. Mais heureusement, il n'y a pas que des gens comme moi, et les "ch-ch-ch" murmurés dans une salle de 4000 personnes, c'est juste sublime.

 

Toulouse-Clermont 304Toulouse-Clermont 305Toulouse-Clermont 311Toulouse-Clermont 316Toulouse-Clermont 317Toulouse-Clermont 318

 

Ensuite la couleur est annoncée "ce soir, c'est menu-reprises", et la cover qui est une de leurs premières et sans doute la plus connue de tous est Hey Ya. Reprise que je pourrai qualifier de contrôle pour voir si le public a bien appris ses leçons de rythmes, et comme dans toutes les classes, il y a des mauvais élèves, et pas que dans le fond, mais les bonnes intentions sont là, et plus c'est casse-gueule, plus c'est drôle. Et au fil des concerts, j'ai comme l'impression que Mark et Morgane en rigolent d'avance. Et Clermon-Ferrand ne fait pas exception à la règle. Et comme à l'accoutumée, Hey Ya explore les styles musicaux : Country, Bossanova, reggae ... De tous les styles la country remporte un franc succès, on sait donc que Cocoon peut donc nous faire aimer tous les styles, ce qui va se confirmer plus tard.

Vient ensuite, le moment clef de la soirée, celui de la chorégraphie. Attention, l'intitulé est plus long à prononcé que la chorégraphie lui même. C'est le grand Oliver, le Kamel Ouali d'Australie, dixit Mark, qui l'a finement élaboré et qui se nomme donc "la prise du Grizzly sous l'arc-en-ciel». Chorégraphie dont je tairai le secret car à ce jour, seuls des milliers de spectateurs en ont la connaissance. Pendant toute la chanson, Super Powers, la tension est à son comble, chacun se prépare à cette chorégraphie mythique qui sera réalisé, comme à chaque fois, avec brio.

 

Toulouse-Clermont 326Toulouse-Clermont 330Toulouse-Clermont 331Toulouse-Clermont 332

 

Après cet effort physique éprouvant, Est appelé Olivier et son ukulélé "non proportionnel" et d'après Mark " l'un des deux est un instrument à la mode", à nous de choisir. Qui dit ukulélé, dit le brillant Comets qui fait tanguer les lampes sur la scène. Ce soir, parce que festival, pas de projecteurs qui se balancent mais dans le public on y est, les bras bougent en rythme et s'entrechoquent un peu, on est tous des comètes à leurs pieds.

 

 

Toulouse-Clermont 334Toulouse-Clermont 338Toulouse-Clermont 340Toulouse-Clermont 344Toulouse-Clermont 348

 

Mark et Morgane poursuivent avec le dernier single sorti en radio, le dynamique Dee Doo. Le voyage en est à plus de sa moitié,  et nous n'avons plus qu'une chose à dire, à crier " I don't want you to go".

 

Toulouse-Clermont 356Toulouse-Clermont 357Toulouse-Clermont 358Toulouse-Clermont 362

 

Dans la même lignée énergique, Mark et Morgane entame la deuxième reprise de la soirée, Empire State Of Mind dont le clip a été dévoilé il y a quelques semaines et dont la version est pour moi bien plus efficace que l'originale, leurs voix qui se répondent ou se superposent minutieusement nous offrent une cover remarquable.

 

 


 

 

 

L'exploration se poursuit en introspection avec un Oh my God saisissant, qui monte en puissance.

Et c'est avec le petit dernier de la tournée, Yum Yum, que l'émotion est à son comble, les cordes et les cuivres surenchérissent dans une envolée plongée et je crois bien que la pluie est tombée, en tout cas c’était tout comme.

Le concert se poursuit avec l'instant "chaleur" ou "Danny Brillant", mais c'est mieux que ça, c'est Dolphins. Ca sonne comme une promesse, peut-être celle de toujours les retrouver quelque part "There a place where you can go".

La nostalgie ne prend pas le dessus très longtemps et, Mark et Morgane nous font cadeau d'une troisième reprise, American Boy, dont le clip est une pépite.

 

 


 

 

 

Avec eux on irait n'importe où, L.A., New-York, Broadway, on n'a plus vraiment de voix, et les mains qui chauffent d'avoir applaudi à tout rompre et pourtant on chante, fort, plus fort, pour que les sourires de Mark et Morgane ne s'enfuient pas dans l'ombre.

Vient le moment des remerciements, ce qui sonne la fin proche du concert, à notre plus grand regret.  A présent, Morgane et Mark nous aident à faire nos vocalises, et on y  va franchement, pour un Vultures un peu spécial, qui vire au Grease "Electrifying !!" chanté presque uniquement par le public avant de reprendre le cours de l'entraînant Vultures.

Et puis l'air de rien ils commencent à nous expliquer que pour la prochaine chanson, il suffit de dire "Hello", oui, à nous public clermontois (ou de passage ^^), ils croient vraiment qu'on pourrait avoir oublié le cultissime Chupee ? Ce sont les bras en l'air, les voix qui crient, et les yeux qui pétillent que nous chantons en choeur.

Mark et Morgane n'ont pas envie de partir, et nous non plus, et c'est en bonus qu'ils nous offrent un Cathedral dans une quasi obscurité, avec les lanternes qui éclairent les visages de nos deux magiciens. Le voyage touche à sa fin en beauté, ce titre clôt le set et c'est sous une pluie d'applaudissements que Cocoon nous fait ses "au revoir". On les reverra bientôt, pour sûr.

 

Toulouse-Clermont 366Toulouse-Clermont 367Toulouse-Clermont 368Toulouse-Clermont 369Toulouse-Clermont 370Toulouse-Clermont 372Toulouse-Clermont 373Toulouse-Clermont 374Toulouse-Clermont 375

 

Cocoon c'est une complicité entre eux, et avec nous, c'est un duo, un groupe, un tout qui rend leurs prestations magiques. Magiques, parce que chacun y apporte de sa signification, chacun y lit ses propres histoires et y trouve le bonheur qu'il y cherche.

 

Toulouse-Clermont 377Toulouse-Clermont 378Toulouse-Clermont 382Toulouse-Clermont 383Toulouse-Clermont 385

 

Mark, Morgane, merci.

 

[Les photos ne sont pas de Clermont mais de Toulouse, la veille.]

Partager cet article
Repost0
1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 19:35

 

Medi, cela vous dit forcément quelque chose, How Would You Do It passe sur toutes les radios depuis quelques temps. Medi était au départ batteur dans le groupe de Charlie Winston. Il a ensuite créé son groupe Medi & The Medicin Show. Et à l'occasion de la sortie de nouvel album solo You got me (moving), nous avons eu le droit à un showcase des plus délicieux. Entre douceur et énergie, les rythmes de sa musique folk charme la petite assemblée conquise d'avance.Nul doute qu'aux Nuits de Fourvière, Medi embarquera son public avec son punch, son sourire, et sa voix pleine de soleil.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Medi-023.JPG

Medi-030.JPGMedi-025.JPGMedi-049.JPGMedi-038.JPGMedi-037.JPGMedi-006.JPG

Partager cet article
Repost0
29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 11:30

Deux Olympia complets. Une amie. Des heures d'attente. Des belles rencontres. Des bouteilles sans bouchons. Du soleil. Des lettres rouges. Deux fois au premier rang. Une nouvelle robe pour Morgane. Un Oliver tout de blanc vêtu. Deux publics en pleine forme. Des cuivres ajoutés. Un baptême pour un Yum Yum magique. Un petit cours de grammaire. Une déclaration d'amour. Des mercis sur petits papiers. Un public sans le sens du rythme pour un Hey Ya collector. Un Dolphins qui commence comme du Danny Brillant. Une setlist dédicacée. Des lanternes qu'on ne veut pas voir s'éteindre. Des paroles connues par coeur. Une voix qui déraille de trop avoir chanté et crié. La pluie, le froid, des bus qu'on laisse passer. Des sourires jusqu'aux yeux. Des M & M adorables et disponibles. Une affiche recto-verso. Un briquet prêté. Des photos floues. Des fous rires immortalisés. Des Super Powers pêchus. Une complicité formidable. Un tel naturel qui déstabilise. Des American Boy bien mieux que l'originale. Des décors et des effets de lumières enchanteurs. Des nuits très très courtes. Une chorégraphie australienne très très impressionnante. Des harmonies de voix à nous faire frissonner. Des solos instrumentaux à couper le souffle. Des traductions de titres. Des histoires de batailles de phoques et d'otaries. Des "hello" à pleine voix. Des snaps qui font pas toujours de bruit. Des Hummingbird ch-ch-chu-chotés. Des Comets qui font tanguer le parterre du premier rang. Des perles d'émotion. Des coeurs qui battent plus vite. Des Cathedral dans un silence presque religieux. Des artistes grandioses qu'on a pas envie de laisser partir.

 

Deux concerts magiques, un Mark et une Morgane généreux et attachants. Une salle mythique pour un groupe céleste.

 

olympia-087.JPGolympia 051olympia-107.JPGolympia 053olympia 060olympia 068olympia 101olympia 109olympia-197.JPGolympia-247.JPGolympia-165.JPGolympia-254.JPGolympia-126.JPGolympia-350.JPGolympia-299.JPGolympia-096.JPGolympia-235.JPGolympia-122.JPGolympia-116.JPG

 

 

 

 

olympia 062olympia-375.JPGolympia-065.JPGolympia-075.JPGolympia-057.JPGolympia-092.JPG

olympia-190.JPGolympia-055.JPGolympia-079.JPGolympia-362.JPGolympia-346.JPGolympia-230.JPGolympia-125-copie-1.JPGolympia-216.JPGolympia-098.JPGolympia-233.JPGolympia-124.JPGolympia-094.JPGolympia-303.JPG

olympia-113.JPGolympia-089.JPG

Cocoon-2924.JPG  Cocoon - Studio SFR, Paris - 10.03.11

Cocoon - Transbordeur, Lyon - 14.02.11

Partager cet article
Repost0
7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 18:54

 

Lac-des-Sapins-HLIA.JPGSamedi dernier, avait lieu à Cublize, le festival d'un jour "Scènes de Rue en Pleine Campagne". A cette occasion, le Lac des Sapins s'étaient entourés d'une petite scène, et de quelques animations. La météo plus que favorable s'accordait avec l'endroit idyllique.

 

Article-1-copie-1.JPGJe suis allée à la rencontre d'un des groupes au programme cet après-midi là : Between The Lulls.

Ils sont cinq, quatre filles pour un garçon.

 

     Aubane : violon, batterie, guitare

     Manon : chant, basse

     Gwendoline : guitare, batterie

     Cédrik : piano

     Mathilde : guitare, batterie

 

La configuration du groupe est un peu spéciale, il n'y a pas de batteur attitré, alors certains membres sont plutôt polyvalents, puisque Mathilde, Gwendoline et Aubane se partage le rôle tour à tour sur scène.  D'ailleurs parlons un peu de l'histoire de ce groupe. Qu'étaient-ils avant Between The Lulls ? Manon, Aubane, Mathilde et Gwendoline étaient engagés dans un groupe, Kod'barre, et Cédrik dans un autre, Bonne Idée. "Pour des raisons gégographiques, on s'est séparés et on s'est retrouvé tous les cinq pour former un seul groupe." L'origine du nom est quant à elle, dûe en partie au hasard. Il est difficile lorsqu'on est cin de trouver un nom qui sonne bon à toutes les oreilles. "J'avais proposé Phoenix des Champs mais ils n'ont pas voulu ..." (Rires). Après avoir épuisé leur réserve, ils ont demandé à leur entourage, et c'est finalement une personne extérieure au groupe dont ils ont gardé la proposition.  La signification de ce nom, à une connotation particulière pour eux. " L’expression signifie « entre les temps morts », en fait la vie est faite de petites morts, qui nous encombrent, il y a des moments où on est en pause, ou la vie se met d'elle même entre parenthèses ...Et le nom de notre groupe c'est tout le reste, tout ce qu’il y a entre, c'est un peu la philosophie de l’instant présent ... Et la musique nous fait vivre plus fort ! "  Article-2.JPGQuelque chose qui frappe immédiatement quand on les voit ensemble, c'est leur complicité. Comme ils le disent, " La musique ça permet de créer des liens ". Oui mais ces liens là, ils sont tissés depuis longtemps, depuis la petite enfance pour certains d'entre eux. En effet, les uns se sont greffés aux autres, souvent par le biais de la scolarité (à deux au collège, à trois au lycée...) ou par l'envie d'incorporer de nouveaux instruments. Une grande histoire d'amitié, et d'amour aussi pour deux d'entre eux. Leur style musical, ils le définissent comme étant pop, rock, variété " Un mix des trois ". Ilsaccordent une importance au rythme, mais aussi aux paroles, c'est important pour eux. En ce qui concerne l'écriture et la composition des chansons. on retrouve le caractère polyvalent de ce groupe. Issus de formations différentes, comme nous l'avons dit plus haut, l'écriture et la composition se font à plusieurs mains. Aubane écrit les chansons : " C'est moi qui écrit mes textes, et après je refile le tout à Mathilde, ou a Cédrik " , Mathilde nous explique " Ca fait pas longtemps qu’on forme un groupe, avant Avec Aubane on avait fait trois chansons, donc c’était moi qui les faisais mais maintenant on propose à tout le monde d’en faire ". Les influences du groupe sont assez éclectiques, on a de la chanson française avec Louise Attaque, dont on comprends le goût pour le violon. On reconnaît l'inspiration de Saez et sa plume acérée. Mêlées à ces vois françaises, on retrouve le folk de Cocoon, les intemporels Beatles et le son rock des guitares de 30 seconds To Mars. Et ce sont ces mêmes groupes qui ravissent leurs oreilles, dont ils aiment faire des covers, notamment Je t'emmène au vent de Louise Attaque. Chacun des membres apporte quelque chose de spécial. Leurs thèmes de prédilection ? " L'amooour !! " fuse d'une part et de l'autre "Tout ce qui va mal sur la planète"  C'est loin d'être contradictoire, on entend dans leurs mots, la violence des sentiments face à une terre et des gens qui ne tournent pas rond. Il y a ces rêves qui les portent et cet air de révolte qui leur donne de plus grandes ailes. Toujours avec cette lucidité sur la nature humaine et cette propension qu'a l'homme de détruire ce qu'il a mis si longtemps à bâtir. Ils ont déjà trois titres à leur actif et la source est loin d'être tarie.

Quant aux angoisses du live, tous ne gèrent pas de la même manière. Pour Cédrik et Aubane, qui sont des musiciens depuis plus longtemps, la scène semble ne pas leur faire peur du tout.  La scène, pour eux, ce n'est donc  pas vraiment une première, mais pour le groupe officiellement, c'était un baptême.

Quand je leur ai demandé le mot de la fin j'ai eu le droit à " Cacahuète, Youpi Tralala, bonjour (le fameux débat de l'heure où l'on dit bonjour ou bonsoir), salut, et maman papa je vous aime" A vous de deviner qui aurait pu dire quoi :)

 

article 3

J'ai vu leurs prestations et j'ai été conquise, malgrès quelques incidents techniques, ils ne se sont pas dégonflés. Manon avec le sourire, s'adressait au public le temps que les instruments soient réglés. Les musiques sont rafraîchissantes, et bien que les textes soient assez tranchés, la bonne humeur et le sourire transparaît dans la voix et les notes de guitares. Voici quelques photos prises pendant les balances.

 

 

 

 

 

 

 

Lac des Sapins 009Lac des Sapins 050Lac des Sapins 051Lac des Sapins 052Lac des Sapins 061Lac des Sapins 054Lac des Sapins 059Lac des Sapins 064Lac des Sapins 062

Partager cet article
Repost0
4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 19:24

Arrivée à 19h, sous le soleil encore éblouissant. Les gens ne se pressent pas. Quelques personnes seulement dans les environs, je suis donc première dans la file d'attente, moi qui pensait être en retard. Je vois passer le groupe, un par un, tranquillement par là-même où une demi heure plus tard, j'allais rentrer. Une fois dans la salle, les quelques personnes présentes s'assoient en petit groupe en attendant le début du concert. La petite salle du Kao se remplit assez lentement, ça sent presque l'été, il y avait au moins la chaleur de la saison, si ce n'est qu'on n'était pas au bord de la plage. Mais bientôt cette petite salle, allait devenir un Hangar. La première partie s'installe sur scène, des Tee-shirts peints sont affichés sur la scène, avec 4 lettres : TPOZ, Le Tout Puissant Orchestre Zenoidal, nous annonce le chnateur principal. Ils sont trois, à trois guitares, deux voix.  Les premieres notes, me font d'emblée penser aux Gypsy Kings et à de cours moments, j'ai même pensé à Tryo. Les paroles en français sont posées sur des rythmes aux sonorités espagnoles, un peu reggae, un peu blues. On devine à travers leurs textes, leur philosophie Zen comme nous le souffle leur nom de groupe. Mention spéciale pour Mon âme dont j'avais l'impression de connaitre déjà par coeur le refrain avant la fin de la chanson. A la fin de leur set, il nous ventent les mérites des tongs, et le public chantonne avec eux "Vive les tongs, vive les tongs".  Clin d'oeil du groupe à  les Hangar qui eux sont pieds nus.

 

Dois-je les présenter ? Antonin au chant et à la guitare, Romain à la guitare, Nicolas à la basse, Pierre-Marie à la batterie, Florent à la guitare rythmique, Hubert au saxophone.  Le temps de mettre en place les instruments, je sens derrière moi l'impatience de la jeunesse féminine, pas que je sois vieille ^^ (24 ans) mais là, je pense que le trois quart du public était plus jeune que moi :) Qu'importe, je m'impatientais aussi, sans doute pas aussi agitée que d'autres.

Et enfin, ils arrivent sous les cris suraigus des "Lionnes" dixit Antonin, le chanteur du groupe. Et ouvrent le concert avec Les Mots.Et très vite, on y est dans ce Hangar, ils sont survoltés, et du coup , nous aussi. Ils enchainent leurs titres, avec vivacité et sourire, le public connaît les chansons par coeur. Antonin chante et enchante. Il bouge, saute, danse, dans tous les sens,c'est une vraie pile electrique. Et ses amis, les musiciens, sont dans la même énergie positive et communicative. Ils enchaînent  les titres, avec entre autre, Le Roi de la Reine, Anaconda, ou encore  leur célèbre Version Originale. L'intimité de la petite salle rend le concert encore plus fort. Avec en apogée, Antonin qui descend dans la foule. Très bon moment. Viennent le temps des au revoirs. Un rappel, normal, deuxième rappel, on se dit qu'après c'est fini. Les lumières se rallument, une musique de fond se met en route. Mais les fans, crient, applaudissent et sont toujours là. Honnêtement je pense que ce n'était pas prévu, et je trouve ça plutôt génial de leur part. Ils reviennent sur scène pour notre plus grand plaisir et nous interprète Le Jardinier Sexuel, mémorable.La scène se vide enfin sous l'oeil des fans qui ne bougent pas d'un poil. Au cas où. On y était dans leur Hangar, et c'était vraiment confortable. On se sentait comme chez nous, et quel plaisir de les voir en version originale.

Peu de photos, car pas d'appareil performant avec moi.

 

Hangar 2768Hangar 2773Hangar 2774Hangar 2781

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Où les trouvez ?

     Myspace : http://myspace.com/hangarspace

     Site Officiel : http://www.hangarmusic.fr

Partager cet article
Repost0
3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 21:51

Vendredi 1er avril, non Julien ne nous ferait pas cette mauvaise blague, pas de poisson, il sera bien là. Enfin quand j'arrive, à 13h environ, il n'y a personne de particulier, enfin il y a toujours des gens qui attendent devant la fnac, du coup je me pose et j'attends en essayant de jauger visuellement qui pourrait être fan de Julien Doré, du moins assez fan, pour arriver aussi tôt. Et après coup, je suis heureuse de voir le public intergénérationnel de Julien. Le showcase devait commencer à 16h30. J'avais, comme toujours, été paranoïaque. Soleil de plomb, fin de semaine, Julien Doré, j'étais persuadée de voir avant moi une vingtaine de personne. Au bout de quelques minutes, ne voyant aucune barrière qui m'indique que je suis bien au bon endroit (on sait jamais!), je m'adresse à un couple devant moi et je constate que nous somme donc trois, victoire. Ils avaient été encore plus courageux, étant là depuis midi. Les minutes passent et les fans des premières heures apparaissent. Les longues heures sous le soleil de plomb, forcément ça favorise les discussions, et j'ai fait de jolies rencontres. Merci Julien ! Donc les minutes défilent leeeenteeeemeeeent, et les hommes de la sécurité jouent à cache-cache. Une organisation qui laisse à désirer, des sans-gêne qui se plantent juste devant nous, alors qu'ils viennent d'arrivée, enfin passons. 16h30 passées, on rentre enfin dans la salle. Premier rang, on souffle enfin. Julien fait son apparition sans tarder, et tente de nous faire la blague de celui-qui-ouvre-la-porte-mais-qui-repart-tout-de-suite. Mais reste Julien ... :) Il comment son set sous les applaudissement et les clics de photos.

C'est un concentréde efficace de notre Julien [a]Doré qui vacille entre émotion et rire. Je sentais vraiment dans la salle, cette tension de se dire "putain on vit un moment précieux là, faut en profiter ..." 

Et grâce à Martine, une fan inconditionnelle, de toute heure et de tout lieu,voilà des vidéos de ce moment magique. Il interprète BB Baleine, Bergman, L'Eté Summer et Kiss me Forever, tous extraits de son Bichon.

 

 


Et il termine en beauté par une cover de Christophe, La Dolce Vita. Un grand moment, un Grand Julien. 
Le showcase se termina donc comme prévu par une séance dé dédicace, on a n'a pas eu le droit a une photo avec lui, mais ce moment a gravé mon sourire pour un bon moment.Rien ne vaut le live, mais voici quelques photos que j'ai prises pendant ses prestations.
Julien Doré Fnac 002Julien Doré Fnac 004Julien Doré Fnac 034Julien Doré Fnac 009Julien Doré Fnac 045Julien Doré Fnac 047Julien Doré Fnac 048bisJulien Doré Fnac 050

Partager cet article
Repost0
31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 18:23

Mardi soir, Les Taïni & Strongs ont réveillé le Ninkasi Kafé. Taini---Strongs-030.JPG

Taïni & Strongs ce sont quatre garçons et une fille : Alwin au clavier, il fait également les deuxièmes voix, Mathias à la guitare, Damz à la basse, Nico à la batterie et Ambre, au chant.C'est du rock, un brin électro.

Taïni & Strongs 211

Taïni & Strongs 192

Taïni & Strongs 185

Taini---Strongs-190.JPG

Personnellement, je ne les connaissais que depuis quelques jours, devant venir au Ninkasi pour distribuer des flyers, je me suis renseignée sur le groupe qui devait passer ce soir là. La première chanson que j'ai écouté sur leur Myspace, Catch me If You Can, m'a immédiatement convaincue. J'ai été vraiment surprise d'apprendre que ce concert éait seulement leur troisième concert. Si avant qu'ils commencent, quelques personnes seulement se tenaient devant la petite scène, après quelques notes seulement, et la voix déferlante de la chanteuse, le public s'était bien rapproché. Taini---Strongs-197.JPGSur scène, je les ai trouvé super à l'aise, la voix d'ambre était assurée, elle a vraiment pris possession de la petite scène avec une énergie folle. Je n'ai pas vu passer l'heure, honnêtement ... Taini---Strongs-129.JPG

Je pense que Lyon n'a pas fini de parler de Taïni & Strongs, il semble qu'ils doivent bientôt sortir un EP.

Si j'étais vous, je me tiendrais au courant de leur actu' ! Et comme Ambre, nous l'avait prédit , je suis rentrée chez moi avec ce rythme dans la tête, et cette envie de battre du pied. Un très bon groupe que j'espère retrouver vite sur les scènes lyonnaises !!

Taïni & Strongs 239

Taini & Strongs 2758

 

Retrouvez sur leur myspace (cliquez ici) trois des titres joués en live : Catch me If you Can, Little Red Cap et Schizofrenic

Partager cet article
Repost0
17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 14:06

Hier, j'au eu mon deuxième rendez-vous avec The Dø, après leur concert au Festival Sakifo à l'île de la Réunion en 2008. Autant dire que l'attente avait été longue. Hier soir, les conditions étaient contre moi. Arpès avoir attendu deux heures sous la pluie, j'étais parmi les premiers arrivés. Passage obligé de la fouille des sacs et cette fois-ci, impossible de rentrer avec mon appareil photo "trop volumineux". Résultat, je me retrouve à la consigne pour le déposer, ce qui me fait perdre un temps précieux. Heureusement, j'ai une solution de secours, un petit appareil peu performant mais j'ose espérer pouvoir prendre quelques photos. Au final je me retrouve au premier rang, certes mais à l'extrême gauche de la scène ce qui m'offre un angle de vue raisonnable mais pas adéquat pour un prise de vue. Comme si la poisse s'abat sur moi, la carte mémoire de mon appareil a planté et le trois quart des photos prises sont corrompues. Voilà pourquoi il y a si peu de photos de ce merveilleurx concert au Transbordeur.

Ce concert avait quelque chose de transcendant. Dan, Olivia et leurs musiciens nous ont embarqué dans leur univers dès les premières notes. Je me suis sentie comme une exploratrice, lampe torche à la main, partie à la découvertes de recoins inexplorés. Un concert de The Dø, c'est comme une éxpédition en pleine nature, on ne sait pas trop on va aller, mais on les suivrait les yeux fermés. Olivia est magistrale, majestueuse. Portée par la farandoles d'instruments, de sons, elle nous emporte avec elle. Elle viens nous chercher. On est entièrement captivés par sa voix qui explore de nouvelles tessitures. On est enveloppé dans un tourbillon, ça va dans tous les sens, on ressent vraiment cette folie sauvage qui s'empare de tout le groupe. Leurs titres sont joués différemment de l'album, c'est un vrai renouveau. La maîtrise qu'ils ont de leurs instruments leur insuffle cette liberté grandiose. Olivia allie force et subtilité, c'est une enchanteresse. Quand ils sont sur scène, la musique tire les ficelles et ils semblent parfois bouger comme des pantins désarticulés. C'est comme magique. Un feu d'artifice. Un voyage dont on revient changé.

 

Et voici les seules photos que j'ai pu sauver.

The-Do---Transbordeur--Lyon---16.03.11-2699.JPG

The-Do---Transbordeur--Lyon---16.03.11-2702.JPG

The-Do---Transbordeur--Lyon---16.03.11-2704.JPG

The-Do---Transbordeur--Lyon---16.03.11-2716.JPG

Et la setlist, en bonus :)

 

img205

Où les trouvez ?

     Myspace : http://myspace.com/thedoband

     Site Officiel : http://www.thedo.info/

 


Partager cet article
Repost0